dimanche 9 décembre 2012

Une approche littératiée pour apprendre la langue et les sciences en immersion : résultats d’une étude quasi-expérimentale

Ce petit discussion parle d'une expérience que  deux enseignantes ont fait pour trouver les connections entre le français immersion et les sciences.  Ils on prit deux classes de français dans leurs deuxième année d'immersion tardif et ils les ont enseigner le science en français.  Avec la classe du contrôle ils ont enseigné d'une façon typique, avec la mémorisation, des projet et pas d'emphase sur l’apprentissage du langue second.  Avec la classe expérimentale, ils ont fait plusieurs tâches d'écriture et d'orale et aussi métacognatives avant et après les nouveaux concepts en science.  Ils voulaient voire si cette emphase sur la langue aux même temps que le science aurait eu un effet sur leurs apprentissage du langue seconde.

Après l'expérience, ils ont trouvé que la groupe experimentale ont parlé plus, mais ils ont aussi utilisé plus d'anglais. Aucun des deux groupes ont eu un amélioration du science parce qu'ils ont déjà étudier  le sujet du leçons.  Le groupe expérimentale a aussi écrit d'une façon beaucoup plus complexe mais ils utilisait encore de l'anglais.  Les deux groupes ont mieux utilisé les verbes.  La groupe expérimentale a eu un amélioration du langue générale.

Leurs conclusions sont que la première langue est encore très importante pour l’apprentissage du science.  Ils pensent que c'est un bonne idée de l'utiliser pour les expériences et pour augmenter le science, mais pas d'utiliser le science pour enseigner la langue.

« C’est un fait! La lecture informative en immersion » par Jouette Gagnon


« C’est un fait! La lecture informative en immersion » par Jouette Gagnon

L’importance des textes courants

     Jouette Gagnon explique que nous vivons dans un monde qui est rempli des textes courants, de l’information courante et informative, et c’est un aspect qu’on doit encourager dans la salle de classe. Aujourd’hui presque chaque élève a l’accès à l’Internet, aux journaux et aux magazines, aux revues des textes, etc., donc ils sont toujours confrontés par la présence et l’importance des évènements courants qui se passent dans le monde. Gagnon explique qu’on doit encourager la lecture de ces évènements dans la salle de classe, parce que les textes courants encouragent d’autres stratégies différentes au sujet d’apprentissage, et les élèves peuvent plus développer leur connaissance et leur compréhension par l’exploration des formes de littérature différentes.

La lecture des textes courants et ce qu’elle implique

Le but des textes informatifs c’est d’informer le lecteur par ce qui se passe.  Les textes directifs exigent à donner des faits ou des instructions à suivre pour compléter une chose comme les directives pour jouer un sport, les directives pour changer un panneau, etc. Et finalement, on a des textes incitatifs qui encouragent une personne à faire quelque chose après qu’on a fini à lire. Ce sont des exemples de textes courants.
Gagnon mentionne des choses qu’on doit apprendre comme lecteur quand on lit des textes courants, qui s’incluent:
  •  L’utilise des éléments textuels du textes comme la couverture, le page titre, la table de matières, l’index, les sous-titres, etc. 
  • La référence aux éléments visuels dans les textes courants comme les dessins, les photos, les tableaux, etc. 
  • Et la considération des conventions typographiques comme la correspondance chiffreimage et chiffretexte par exemple

L’enseignement de la lecture informative
L’enseignant doit: 
  • Montrer comment on s’écoute lire
  • Comment on prend des décisions pour exiger la lecture compréhensible 
  • Comment on consulte les éléments textuels et visuels
  • Comment faire des liens avec les expériences personnelles et les connaissances
  • Enseigner comment utiliser une table de matières et un index pour un lecture sélective
  • Apprendre comment poser des questions personnelles et comment faire des recherches de l’information dans les textes
  • Enseigner aux élèves comment faire des choix pour trouver la réponse à leurs questions.

     Dans son article, Gagnon décrit par étapes comment on peut structurer un texte (l’introduction, le corps, etc.) et des activités qu’on introduit dans la salle de classe pour les élèves qui exigent l’apprentissage en lecture. Par exemple: 
1) Avant la lecture: on enseigne une activité visant à activer les connaissances et les expériences personnelles des élèves qui sont reliées au sujet du texte; 
2) Pendant la lecture: enseigner une activité visant à relier les idées du texte aux connaissances personnelles des élèves; et puis 
3) Après la lecture: enseigner une activité visant à organiser les connaissances et une discussion orale de ce qu’ils ont appris du texte.

De l’oral à l’écrit en faisant des liens interdisciplinaires
     Parce que la communication orale est considérée comme la base de la littératie, l’enseignant doit donner une période de temps ininterrompue pour intégrer les autres matières dans le sujet du texte courant.
     Par exemple, on peut intégrer la scientifique dans la période de l’enseignement de la lecture courante, dont les élèves peuvent explorer et développer les habiletés langagières, mais aussi ils construisent des concepts de base en science et le vocabulaire technique qui est relié au sujet de science. Il y a beaucoup des stratégies que les élèves apprennent des textes informatifs:
  •            Ils apprennent à lire des textes informatifs et à développer la raisonnement critique 
  •       Le lecteur débutant apprend à comprendre les textes informatifs
  •       Ils apprennent à répéter des faits
  •       Quand ils complètent des tableaux et des schémas, ils apprennent comment organiser l’information et comment illustrer les découvertes

     Gagnon exprime que la plupart des élèves sont exposés aux textes courants dehors de l’école, et l’enseignant d’immersion va profiter de ses expériences personnelles de ses élèves pour leur enseigner à reconnaître les types de textes courants et les éléments textuels et visuels pour leur aborder avec succès. En immersion, c’est aussi important de lire et de faire lire les textes informatifs. La lecture des textes courants n’est pas seulement bénéficiale à un programme de lecture équilibré, mais ils facilitent beaucoup l’intégration des autres matières scolaires aussi. Ce permet a l’élève d’immersion à consolider des habiletés langagières, de créer des liens interdisciplinaires, et d’intégrer des nouvelles connaissances dans sa vie quotidienne. 
     En conclusion, la lecture des textes courants selon Jouette Gagnon améliore l’apprentissage langagière, la communication orale, mais aussi la compétence et la compréhension dans les autres matières ou sujets scolaires. La lecture de textes courants dans un programme d’immersion aide les élèves identifier les forces et les lacunes de lecteur et se fixer des objectifs précis pour aider l’élève à progresser au sujet du développement d’apprentissage.

vendredi 7 décembre 2012

« Les six caractéristiques d’un enseignement efficace de la lecture au niveau élémentaire »


« Les six caractéristiques d’un enseignement efficace
de la lecture au niveau élémentaire » par Richard Allington

            Il est évident que les bons enseignants sont beaucoup plus importants que les documents ou les démarches pédagogiques et voici les six caractéristiques communes des professeurs efficaces au niveau élémentaire :

1. Le temps : les enseignants exemplaires s'assurent que les activités d'écriture, de lecture et d'autres activités sont équilibrés. Ils examinent le type et la quantité d'activités et maintient qu'il suffit d'allouer de trois à cinq minutes à l'activation des connaissances antérieures. Pour acquérir des compétences en lecture il est essentiel de lire souvent.

2. Les textes : les enseignants exemplaires savent qu'un élève doit lire souvent tout au long de la journée et qu'ils doivent lire des livres d'un niveau approprié et « faciles » pour encourager la lecture autonome et continuelle. Si les étudiants lisent des livres « faciles » ils pourront lire avec exactitude et aisance et ils auront une solide compréhension des textes. Si leur compréhension est augmentée, ils auront plus de motivation pour la lecture.

3. L'enseignement : les enseignants exemplaires sont actifs et planifient le temps d'enseignement et choisi avec caution les manuels appropriés. Ces enseignants font des démonstrations de la manière dont un lecteur réfléchit lorsqu'il tente de décoder un mot, vérifie sa compréhension et fait un résumé de lecture ou corrige un texte qu'il écrit. Il faut enseigner les stratégies de lecture et facilité la lecture autonome.

4. La discussion : les enseignants exemplaires favorisent les discussions tout au long de la journée. Ces enseignants posent des questions avec un multiple de « bonnes » réponses. Les questions sont utilisées pour rappeler les éléments d'informations et pour vérifier la compréhension. Les discussions sont plutôt des conversations au lieu d'interrogation et les discussions plus réfléchies entraînent une meilleure compréhension de la lecture.

5. Les tâches : les enseignants exemplaires assignent des travaux de longue durée (les tâches de dix jours ou plus) aux étudiants. Pour les tâches longues durées les étudiants sont plus stimulés et ils démontrent une grande part d'autonomie dans leurs travaux. Les tâches impliquent le choix des élèves et un tel choix entraîne une meilleure prise en charge des élèves à l'égard de leur travail.

6. Les tests : les enseignants exemplaires évaluent le travail des élèves en fonction des efforts fournis et des progrès réalisés plutôt que d'examiner seulement le rendement. L'évaluation est fondée sur l'amélioration et l'effort des étudiants.

En conclusion il est évident que l'expertise des enseignants est essentielle pour l'instruction efficace des étudiants.

mardi 4 décembre 2012

Why you're already an inclusive educator

Cette article "Why You're Already an Inclusive Educator" écrit par Katy Arnett parle du fait que nous essayons déjà d'inclure tous nos étudiants dans nos classes et que ça peut aider nos élèves.  Elle dit que l'inclusion additive est quand l'enseignant fait les changements au leçons pour que les étudiants avec les difficultés d’apprentissage peuvent mieux comprendre.  Mais ça devient plus commun pour les leçons d'utiliser l'inclusion générale où le professeur essaie d'utiliser les stratégies pour aider tous les élèves à comprendre.  Beaucoup des stratégies qui sont suggérer pour aider les étudiants avec les difficultés d'apprentissage sont déjà utiliser dans une classe de français comme langue seconde.  C'est typique pour un enseignant de devoir modifier ses classes pour incorporer les habilités des niveaux de langue différent dans leurs classes.
Arnett décrit aussi que c'est important de faire les discussions avec vos collègues et de parler des difficultés d'apprentissages en français parce que tous vos étudiants devraient avoir la meilleur chance à apprendre ce langue, sans considération pour le façon dont ils apprennent.

dimanche 2 décembre 2012

« Inclusion » par Dr. Katy Arnett


« Inclusion » par Dr. Katy Arnett
« Accomodating the exceptional learner in French Immersion : Strategies for addressing issues of teacher beliefs and classroom practices. »

            Le but de l'article est d'articuler les trois actions qui sont essentielles pour devenir un enseignant efficace et inclusif pour une variété de manières d'apprentissage.

1. Conduisez une autoanalyse de tes systèmes de croyance.
            Avant de penser aux stratégies d'enseignement, il faut réfléchir sur les perceptions et les suppositions que vous possédez envers les apprenants exceptionnels. Il faut que vous vous demandiez comment vous vous sentez à propos de leurs potentiels et leurs droits d'apprendre le français. De plus, il faut que vous vous réfléchissiez sur votre capacité de les enseigner dans le contexte d'une classe.
            Arnett suggère de garder des attentes positives envers ces étudiants, car le plus que vous pensez que vous n'êtes pas capable de les enseigner, le moins vous allez essayer de les accueillir au niveau de leur apprentissage. Si ces étudiants veulent apprendre la langue c'est notre responsabilité comme enseignant de les accueillir.

2. Considérez vos modèles d'interaction avec vos élèves.
            Wells suggère que si un enseignant pose des questions supplémentaires il serait plus probable que les élèves continueront de participer avec leur apprentissage de la langue. Cette méthode s'appelle le « Initiation-Response-Follow-up » (IRF). Arnett s'appuie sur la recherche pour montrer que cette méthode est efficace. Les enseignants qui interagissent avec les étudiants avec les difficultés d'apprentissage et qui vont au-delà d'examiner si ces étudiants ont utilisé les habiletés supérieures de la pensée sont plus victorieux comme enseignants inclusifs.

3. Structurez les activités pour être multimodale/multisensorielle.
            L'apprentissage multimodal ou multisensoriel est important pour l'apprenant exceptionnel. Arnett croit que c'est important de lire les instructions et l'information sur les rétroprojecteurs à haute voix pour que ces étudiants puissent décoder la langue. Ces étudiants ont tendance à être plutôt des apprenants kinesthésiques, alors en utilisant des mouvements ou des ressources pour engager les habilités motrice leur apprentissage sera plutôt amélioré (ex. écrire des lettres avec de la crème à raser, utiliser des tableaux blancs, des pièces magnétiques, etc.).
           
En conclusion, Arnett affirme que l'apprentissage des apprenants exceptionnels commence avec l'enseignant. C'est la responsabilité de l'enseignant de garder un esprit ouvert et une attitude positive envers les capacités de ces étudiants. En employant plusieurs stratégies d'enseignement vous allez voir que c'est possible d'enseigner effectivement de nombreux d'apprenant dans un cours d'immersion français.

jeudi 29 novembre 2012

"It's not as hard as you think: including students with learning difficulties in Core French"


Dr. Katy Arnett, "It's not as hard as you think: including students with learning difficulties in Core French"


Dans cet article, Katy Arnett écrit que ce n'est pas seulement possible d'inclure les étudiants qui souffrent des difficultés d'apprentissage dans un cours de français cadre, mais c'est aussi faisable. 

Arnett exprime que la raison dont elle croit que ses élèves réussissent dans sa classe français est à cause des relations naïves et amicales qu'ils développent dans la salle de classe. Le succès et la croissance éducative sont plus probables pour arriver dans une salle de classe du français cadre quand les étudiants se sentent et ils fient leur professeur. Arnett exprime qu'un professeur doit lier le cours du français cadre et la langue française aux vies de chaque étudiant, et aux méthodes personnelles d'apprentissage qu'ils exigent dans la salle de classe chaque jour. Alors, au commencement de l'année scolaire, Arnett encourage ses élèves à faire un questionnaire qui concerne les intelligences multiples, et elle utilise l'information qu'elle trouve pour créer des profiles de classe- cette idée aide le professeur à créer des plans pour des leçons, et les étudiants connaissent où se trouvent leurs forces dans l'environnement d'apprentissage. Donc, Arnett peut distinguer entre les étudiants qui exigent les intelligences interpersonnelles, les intelligences kinesthésiques, etc.  Elle explique que c'est une bonne idée à construire des inventaires d'étudiants pour déterminer comment chaque étudiant essaye d'apprendre (plus précisément, des étudiants qui possèdent des difficultés avec l'apprentissage).

Arnett continue à décrire des méthodes à utiliser dans la salle de classe pour offrir l'assistance aux élèves qui montrent des difficultés avec l'apprentissage, particulièrement dans les cours français, et elle dit qu'on doit exposer les élèves à la langue française par la communication orale, les ressources françaises exécutées dans la salle de classe, et ils doivent être présentés avec les occasions dont ils peuvent pratiquer la langue française par la communication orale (et écrite) dans la salle de classe avec le professeur et les autres élèves dans la cours. Arnett écrit aussi qu'on ne peut pas donner les instructions françaises dans un cours de français cadre vers des élèves qui possèdent des difficultés d'apprentissage, et puis donner les mêmes instructions en anglais (Arnett décrit que cette méthode va créer plus de confusion parce que les élèves doivent maintenant comprendre les deux langues, les différences entre les deux, et comment comprendre les instructions du professeur. Une chose qu’un élève, qui souffert de la dyslexie, a fait pour mieux comprendre le français c’est de visualiser des images qui correspondent avec chaque mot qu’il écoute ou qu’il lit en français pour mieux comprendre le sens pour chaque mot. Arnett utilise cette stratégie dans sa salle de classe quand elle décide à créer une activité visuelle pour les élèves : au lieu d’encourager les élèves à pratiquer la langue française avec une liste de plusieurs mots inconnues, elle encourage les élèves à dessiner des images qui montrent le sens pour chaque mot, alors qu’ils peuvent mieux comprendre et souvenir le sens pour chaque mot quand ils entendent le mot dit en français.

Une autre activité qu’on peut faire dans la salle de classe pour le cours du français cadre c’est qu’on donne des petits morceaux du papier aux élèves avec des mots sur chaque morceau du papier, et les élèves doivent construire des phrases complètes avec des mots données. On peut aussi utiliser des surligneurs pour surligner les différences entre les verbes irreguliers, les noms masculins et féminins, les prépositions, etc. Pour cette activité, les formes de grammaire et de langue écrite sont visibles aux élèves, et ils peuvent distinguer entre eux.

À la fin de l’article, Arnett inclut l’avertissement pour Tralco-Lingo Fun, une espèce de programme d’apprentissage qui aide des élèves à mieux comprendre et apprendre vers des activités orales et écrites, des dictionnaires multi-langues, etc.

Selon moi, je pense que Katy Arnett donne des exemples excellents d'érudition efficace et de techniques pédagogiques qui peuvent être utilisé non seulement pour aider des étudiants avec des difficultés d’apprentissage, mais aussi avec la classe entière. J'ai l'intention d'utiliser ces activités, parmi d'autres, dans ma salle de classe quand j'enseigne une deuxième langue.


dimanche 28 octobre 2012

Comment encourager nos élèves à parler français

J’ai lu l’article “Comment encourager nos élèves à parler français?” par Myra Froc.  L’auteur commence par décrire que c’est important pour les étudiants du français comme langue seconde d’être dans un bain de la langue et d’être complètement entouré par le français pour le mieux apprendre.  Donc, Froc pense que c’est important d’encourager vos élèves de parler en français dans la classe.  Voici quelques techniques qu’elle décrit pour aider avec ce tache difficile:

1.Les Billets: l’idée de donner les billets aux élèves que vous enlevez quand ils parlent en anglais dans la classe.  Ceux qui ont les billets à la fin du semain peuvent les utiliser pour acheter un prix.
2. La vente aux enchère: similaire aux billets mais avec plus de détails.  Comme l’argent du  Monopolie, les étudiants peuvent le gagner ou le perdre pour leurs actions en classe et les utiliser pour acheter les prix.
3. La recette: ajouter un ingrédient pour chaque période que les élèves parlent français et manger-le quand c’est complète.
4.Le contrat: engage l’étudiant de participer et produire leurs propres stratégies pour améliorer leur langue en classe et souligne leur propre pouvoir dans leur éducation.
5. Le carré anglais: créez un endroit où les élèves peuvent aller quand ils sont frustré et peuvent pas leur exprimer en français.
6.La carte français: une carte où les étudiants reçoivent les collants ou étoiles quand ils parlent en français, mais perdent les points sur le bulletin scolaire quand il y a plusieurs notations sur l’autre côté quand ils parlent en anglais.

Froc décrit aussi plusieurs types de travaux qui aident à habituer les enfants à parler en français dans la classe.

1.Le travail coopératif et l’auto-évaluation: encourage la conversation en français et l’auto-évaluation à la fin du jour peut contenir quelques questions sur la qualité et la quantité de français parler par l’étudiant.
2. Le cercle de parole: encourage les étudiants de partager en français et d’écouter les autres élèves.  Il y a un objet que vous passez et seulement la persone avec l’objet peut parler.
3.La gallérie: affichez du papier autour de la classe, puis  les élèves répondent aux questions les-dessous et les discutent ensemble.
4. La simulation: l’utilisation des situations qui resemblent la réalité pour utiliser les expressions idiomatique et langue quotidienne.
5.Le débat: une procédure formelle qui encourage les élèves à parler en français pendant qui suivent les règles du débat.
6.Les clubs littéraires: courte liste de questions qui aident la discussion d’un roman que tout un groupe a lu.
7.Les sondages: aide à apprendre du nouveau vocabulaire parce qu’il faut répéter les mêmes questions plusieurs fois.

Tous c’est idées aideront beaucoup dans la classe pour encourager les élèves à parler français entre eux.

samedi 27 octobre 2012

La communication orale au cycle secondaire




Bonjour tout le monde! Je vous offre une court synthèse de l'article de François Lentz, intitulé « La communication orale au cycle secondaire: de quels oraux parle-t-on? ».


Pratique exemplaire
La communication orale au cycle secondaire : de quels oraux parle-t-on ? 

L'article de François Lentz décrit ce qui construit la communication orale et sa fonction au cycle secondaire. Il explique que la langue orale est un outil de communication, mais c'est aussi un outil de pensée et d'apprentissage (au contexte scolaire). Lentz essaye d’examiner des certaines étapes qui forme la contruction de communication orale au cycle secondaire, et comment on peut la diviser pour affirmer la comprehension de cette forme de communication.

1.     « Que recouvre l'expression communication orale?
a.     La communication orale est divisée en deux parties, « se constuire » et « se dire »
b.     Des parties qui constituent la communication orale incluent :
                                     i.     Les interactions verbales
                                     ii.     L’oral de réalisation de tâches
                                     iii.     L’oral de construction de savoirs
                                     iv.     L’oral réflexif
                                     v.     La compréhension orale
                                     vi.     La production oral à caractère plus ou moins formel

2.     La communication orale : volets et pratiques (divisées en quelques parties, selon l’opinion de Lentz)
·      L’oral n’est pas seulement la prise de parole. Les pratiques de compréhension orale propossées aux élèves du cycle secondaire gagnent à être :
                                     i.     orientées par une intention
                                     ii.     articulées par une démarche ternaire (prévisionnement, visionnement, postvisionnement)
Voici quelques exemples de pratiques de compréhension orale au cycle secondaire :
                                    i.     Le film de fiction
                                    ii.     La chanson
                                    iii.     La publicité
                                    iv.     Le reportage
·      Selon Lentz, l’oral de communication comprend deux dimensions :
  La production orale à caractère plus au moins formel : dans une situation de communicationqui donne lieu à peu d’interactions entre le destinateur et son auditoire; prèsente une syntaxe proche de celle de l’ècrit, appuyé souvent d’un support visuel
o   Les interactions verbales : des situations de communication qui appellent des dynamiques interactives entre les protagonistes; spontané et souvent investi d’ne charge socioaffective- le lieu de l’expression et de la négociation
·      Les interactions orales sont également au cœur d’un autre oral : celui que est mobilisé, voire nécessité, par la réalisation de tâches d’apprentissage.
·      L’oral de construction de savoirs : ne relève pas des interactions langagières requises par la réalistion d’une tâche, mais a trait à la construction de critères qui servent à caractériser des objets d’apprentissage.
o   Convoque un matériau linguistique spécifique- celui qui marque la caractérisation, la définition, la description, la précision (on parle de l’objet), et celui qui marque la mise en œuvre d’opérations liées à a pratique de l’objet (on parle sur l’objet)
o   On peut mettre en deux ordres d’oral :
o   L’oral de construction de la pensée : l’exploration d’une idée, d’un concept, d’un point de vue, etc.
o   L’oral de communication de la pensée construite : présenter un concept, un opinion, une thèse, etc.; s’exprimer pour se faire comprendre
·      L’oral réflexif :
o   Parle de l’objet d’apprentissage que représente l’oral
o   Parle de ses succès, ses défis, ses progrès
o   Parle de ses apprentissages
·      La communication orale permet à l’élève de se produire, de se construire et se dire, comme personne.

3.     Quelques élargissements, en guise de conclusion:
Lentz décrit la perspective pédagogique sur la communication orale au cycle secondaire en quelques étapes qui convoque de certaines conditions, celles qui suivent :
                                      i.     la langue orale est perçue comme un instrument de communication
                                      ii.     les élèves ont de nombreuses occasions d’utiliser la langue orale pour communiquer
                                      iii.     les pratiques sont portées par la dynamique du sens
                                      iv.     les élèves sont exposés aux modèles excellents
                                      v.     il y a un climat de confiance qui favorise la prise de risques
                                      vi.     climat sécurisant, où les erreurs sont acceptées
                                      vii.     une évaluation également pour l’apprentissage
                                      viii.     des indicateurs de performance
                                      ix.     un soutien technique minimal
                                      x.     du temps
Lentz décrit la communication orale renvoie à une vision pédagogique et elle doit s'accompagner d'interventions sur des éléments, des ordres linguistiques, discursif et communicatif, de l'oral comme objet d'apprentissage. En conclusion, Lentz explique que la communication orale au cycle secondaire donne aux élèves des mots pour se communiquer, pour l'apprentissage (et l'aide à apprendre), pour se dire, mais aussi pour se construire dans un contexte scolaire, au sujet de leur parole. Enfin, Lentz exprime que la communication orale, c'est la meilleure forme de communication qu'une élève possède, qui l'aide le plus dans le développement d'apprentissage à l'école ; sans la compréhension orale, on ne pourrait pas apprendre ni enseigner l'écrite- tout est construite sur l'orale. À mon avis, je suis d'accord avec des opinions que Lentz adresse et je crois que nous, comme les enseignants, devrait converger notre attention et la direction de nos leçons, à la construction correcte de communication et la compréhension orale, pour garantir que les étudiants arrivent à leur développement dans apprendre une nouvelle langue.