jeudi 29 novembre 2012

"It's not as hard as you think: including students with learning difficulties in Core French"


Dr. Katy Arnett, "It's not as hard as you think: including students with learning difficulties in Core French"


Dans cet article, Katy Arnett écrit que ce n'est pas seulement possible d'inclure les étudiants qui souffrent des difficultés d'apprentissage dans un cours de français cadre, mais c'est aussi faisable. 

Arnett exprime que la raison dont elle croit que ses élèves réussissent dans sa classe français est à cause des relations naïves et amicales qu'ils développent dans la salle de classe. Le succès et la croissance éducative sont plus probables pour arriver dans une salle de classe du français cadre quand les étudiants se sentent et ils fient leur professeur. Arnett exprime qu'un professeur doit lier le cours du français cadre et la langue française aux vies de chaque étudiant, et aux méthodes personnelles d'apprentissage qu'ils exigent dans la salle de classe chaque jour. Alors, au commencement de l'année scolaire, Arnett encourage ses élèves à faire un questionnaire qui concerne les intelligences multiples, et elle utilise l'information qu'elle trouve pour créer des profiles de classe- cette idée aide le professeur à créer des plans pour des leçons, et les étudiants connaissent où se trouvent leurs forces dans l'environnement d'apprentissage. Donc, Arnett peut distinguer entre les étudiants qui exigent les intelligences interpersonnelles, les intelligences kinesthésiques, etc.  Elle explique que c'est une bonne idée à construire des inventaires d'étudiants pour déterminer comment chaque étudiant essaye d'apprendre (plus précisément, des étudiants qui possèdent des difficultés avec l'apprentissage).

Arnett continue à décrire des méthodes à utiliser dans la salle de classe pour offrir l'assistance aux élèves qui montrent des difficultés avec l'apprentissage, particulièrement dans les cours français, et elle dit qu'on doit exposer les élèves à la langue française par la communication orale, les ressources françaises exécutées dans la salle de classe, et ils doivent être présentés avec les occasions dont ils peuvent pratiquer la langue française par la communication orale (et écrite) dans la salle de classe avec le professeur et les autres élèves dans la cours. Arnett écrit aussi qu'on ne peut pas donner les instructions françaises dans un cours de français cadre vers des élèves qui possèdent des difficultés d'apprentissage, et puis donner les mêmes instructions en anglais (Arnett décrit que cette méthode va créer plus de confusion parce que les élèves doivent maintenant comprendre les deux langues, les différences entre les deux, et comment comprendre les instructions du professeur. Une chose qu’un élève, qui souffert de la dyslexie, a fait pour mieux comprendre le français c’est de visualiser des images qui correspondent avec chaque mot qu’il écoute ou qu’il lit en français pour mieux comprendre le sens pour chaque mot. Arnett utilise cette stratégie dans sa salle de classe quand elle décide à créer une activité visuelle pour les élèves : au lieu d’encourager les élèves à pratiquer la langue française avec une liste de plusieurs mots inconnues, elle encourage les élèves à dessiner des images qui montrent le sens pour chaque mot, alors qu’ils peuvent mieux comprendre et souvenir le sens pour chaque mot quand ils entendent le mot dit en français.

Une autre activité qu’on peut faire dans la salle de classe pour le cours du français cadre c’est qu’on donne des petits morceaux du papier aux élèves avec des mots sur chaque morceau du papier, et les élèves doivent construire des phrases complètes avec des mots données. On peut aussi utiliser des surligneurs pour surligner les différences entre les verbes irreguliers, les noms masculins et féminins, les prépositions, etc. Pour cette activité, les formes de grammaire et de langue écrite sont visibles aux élèves, et ils peuvent distinguer entre eux.

À la fin de l’article, Arnett inclut l’avertissement pour Tralco-Lingo Fun, une espèce de programme d’apprentissage qui aide des élèves à mieux comprendre et apprendre vers des activités orales et écrites, des dictionnaires multi-langues, etc.

Selon moi, je pense que Katy Arnett donne des exemples excellents d'érudition efficace et de techniques pédagogiques qui peuvent être utilisé non seulement pour aider des étudiants avec des difficultés d’apprentissage, mais aussi avec la classe entière. J'ai l'intention d'utiliser ces activités, parmi d'autres, dans ma salle de classe quand j'enseigne une deuxième langue.


2 commentaires:

  1. À mon avis j'ai trouvé cet article très informatif. Le fait le plus intéressant que j'ai trouvé était l'idée de parler seulement en français avec les étudiants qui possèdent des difficultés d'apprentissage. Il semble logique de répéter les instructions en anglais pour ces étudiants, car on croit qu'ils auraient de la difficulté à comprendre une autre langue. Néanmoins, ce n'est pas le cas.

    J'ai bien aimé l'activité visuelle pour la grammaire. Durant mon stage j'ai remarqué que les étudiants ont été plus enthousiastes pour apprendre quand ils avaient la chance de bouger autour de la classe, de parler avec leurs amis et de voir les mots souligner. Je vais certainement utiliser l'activité qu'elle a décrit.

    On a beaucoup parlé de quelques points que l’article adresse dans nos cours à Nipissing. Par exemple, elle dit que l'enseignement du français doit être toujours lié à la vie de chaque étudiant et leurs méthodes personnelles d'apprentissage. On a bien compris à l'université qu'il faut toujours créer des leçons qui sont inclusives pour tous les étudiants et d’introduire le français dans la vie hors de la classe (ex. les clubs français, etc.). J’ai bien aimé l’article et je crois que j’appliquerai les idées d’Arnett dans mes cours de français à l’avenir.

    RépondreEffacer
  2. Bien oui, j'ai trouvé que l'article est très informatif aussi et comme Josée écrit, nous utilisons des leçons qui sont inclusives pour chaque élève, et nous essayons d'introduire le français dans la vie personnelle aussi, pour que les élèves apprennent la langue d'un niveau personnel et réel. Ils sont plus capables d'apprendre la langue s'ils font de la pratique hors de la classe et parce qu'Arnett exige qu'on parle seulement la langue française dans le cours français cadre avec les élèves qui possèdent des difficultés d'apprentissage, on peut voir plus de résultats positifs qui concernent la performance et la participation des élèves.
    S'ils n'ont pas de choix que parler le français dans le cours, les élèves ont plus de possibilité de comprendre le contenu du cours et leur niveau de communication et leur expression orale améliora.

    RépondreEffacer