« Inclusion » par
Dr. Katy Arnett
« Accomodating the
exceptional learner in French Immersion : Strategies for addressing issues
of teacher beliefs and classroom practices. »
Le
but de l'article est d'articuler les trois actions qui sont essentielles pour
devenir un enseignant efficace et inclusif pour une variété de manières
d'apprentissage.
1. Conduisez une autoanalyse de tes systèmes de
croyance.
Avant
de penser aux stratégies d'enseignement, il faut réfléchir sur les perceptions
et les suppositions que vous possédez envers les apprenants exceptionnels. Il
faut que vous vous demandiez comment vous vous sentez à propos de leurs
potentiels et leurs droits d'apprendre le français. De plus, il faut que vous
vous réfléchissiez sur votre capacité de les enseigner dans le contexte d'une
classe.
Arnett
suggère de garder des attentes positives envers ces étudiants, car le plus que
vous pensez que vous n'êtes pas capable de les enseigner, le moins vous allez
essayer de les accueillir au niveau de leur apprentissage. Si ces étudiants
veulent apprendre la langue c'est notre responsabilité comme enseignant de les
accueillir.
2. Considérez vos modèles d'interaction avec vos
élèves.
Wells
suggère que si un enseignant pose des questions supplémentaires il serait plus
probable que les élèves continueront de participer avec leur apprentissage de
la langue. Cette méthode s'appelle le « Initiation-Response-Follow-up » (IRF).
Arnett s'appuie sur la recherche pour montrer que cette méthode est efficace.
Les enseignants qui interagissent avec les étudiants avec les difficultés
d'apprentissage et qui vont au-delà d'examiner si ces étudiants ont utilisé les
habiletés supérieures de la pensée sont plus victorieux comme enseignants inclusifs.
3. Structurez les activités pour être
multimodale/multisensorielle.
L'apprentissage
multimodal ou multisensoriel est important pour l'apprenant exceptionnel.
Arnett croit que c'est important de lire les instructions et l'information sur
les rétroprojecteurs à haute voix pour que ces étudiants puissent décoder la
langue. Ces étudiants ont tendance à être plutôt des apprenants kinesthésiques,
alors en utilisant des mouvements ou des ressources pour engager les habilités
motrice leur apprentissage sera plutôt amélioré (ex. écrire des lettres avec de
la crème à raser, utiliser des tableaux blancs, des pièces magnétiques, etc.).
En conclusion,
Arnett affirme que l'apprentissage des apprenants exceptionnels commence avec
l'enseignant. C'est la responsabilité de l'enseignant de garder un esprit
ouvert et une attitude positive envers les capacités de ces étudiants. En
employant plusieurs stratégies d'enseignement vous allez voir que c'est
possible d'enseigner effectivement de nombreux d'apprenant dans un cours
d'immersion français.
J'aime bien l'idée qui suggère la considération des modèles d'interaction avec les élèves, et je crois que l'activité d'« Initiation-Response-Follow-up » que Wells suggère dans l'article d'Arnett est un bon exemple d'une stratégie qu'on peut utiliser dans un cours d'élèves qui aient de difficultés avec leur apprentissage, parce qu'au lieu d'évaluer les élèves seulement par leur niveau de compréhension et la participation dans la discussion, Wells choisit de créer une autre méthode d'apprentissage pour les élèves avec les difficultés en apprentissage dont ils peuvent communiquer plus en classe avec les autres élèves, et ils vont participer plus qu'avec une activité d'évaluation seulement.
RépondreEffacerArnett décrit aussi que ces élèves deviennent plutôt des apprenants kinesthésiques, alors on doit encourager l'usage des mouvements ou des ressources pour engager les habilités motrices pour améliorer leur niveau d'apprentissage (c'est un exemple d'apprentissage modifié et alternatif, mais c'est vraiment une espèce d'apprentissage sans doute). Je crois que cette idée est tellement importante, parce que les élèves apprennent par des méthodes ou des façons différentes, alors nous, comme les enseignants, doivent essayer de familiariser et d'utiliser des méthodes différentes qui aident tous les élèves d'améliorer leur apprentissag. Chaque élève apprend par une méthode (ou une intelligence) différente, alors nous devons essayer d'utiliser de nombreuses stratégies et des approches dans la salle de classe pour enseigner et pour aider dans le développement de chaque enfant, n'importe quels difficultés ni des incapacités qu'ils possèdent.
C'est comme Josée écrit à la fin de son sommaire de l'article écrit par Arnett : « C'est la responsabilité de l'enseignant de garder un esprit ouvert et une attitude positive envers les capacités de ces étudiants. » Je crois que c'est vrai et si un enseignant emploi plusieurs stratégies d'enseignement dans la salle de classe, on va voir que c'est plutôt possible pour les étudiants d'apprendre par une façon qui est plutôt personnelle et mémorable au lieu d'une seule façon traditionnelle. Nous devons enseigner aux élèves par une approche personnelle, réelle et ouverte si nous voulons qu'ils atteignent le succès.
Je suis d’accord avec Katy-je pense que la majorité des élèves avec une intelligence moyenne peuvent réussir en immersion.
RépondreEffacerJe pense qu’il faut aussi considérer les conséquences de nos recommandations. Par exemple, si nous recommandons qu’un élève sort de l’immersion-quel message donnons-nous à l’élève ? Est-ce un vrai message ? Il pourrait avoir des résultats plus répandus que nos salles de classe. Au Nouveau Brunswick, par exemple, le gouvernement voulait annuler le programme de l’immersion parce que les élèves en difficulté se trouvaient juste dans les classes d’anglais ce qui créait un déséquilibre entre classes et enseignants. Maintenant, le gouvernement de NB commence l’immersion en 3e année-alors rejeter les élèves en difficulté avait une conséquence d’une perte de 3 ans (maternelle à la 2e année) d’études françaises dans notre province bilingue.
De l’autre côté de la médaille, les enseignants de l’immersion ont besoin du même appui que les classes en anglais pour bien réussir-les assistants par exemple.