mardi 4 décembre 2012

Why you're already an inclusive educator

Cette article "Why You're Already an Inclusive Educator" écrit par Katy Arnett parle du fait que nous essayons déjà d'inclure tous nos étudiants dans nos classes et que ça peut aider nos élèves.  Elle dit que l'inclusion additive est quand l'enseignant fait les changements au leçons pour que les étudiants avec les difficultés d’apprentissage peuvent mieux comprendre.  Mais ça devient plus commun pour les leçons d'utiliser l'inclusion générale où le professeur essaie d'utiliser les stratégies pour aider tous les élèves à comprendre.  Beaucoup des stratégies qui sont suggérer pour aider les étudiants avec les difficultés d'apprentissage sont déjà utiliser dans une classe de français comme langue seconde.  C'est typique pour un enseignant de devoir modifier ses classes pour incorporer les habilités des niveaux de langue différent dans leurs classes.
Arnett décrit aussi que c'est important de faire les discussions avec vos collègues et de parler des difficultés d'apprentissages en français parce que tous vos étudiants devraient avoir la meilleur chance à apprendre ce langue, sans considération pour le façon dont ils apprennent.

2 commentaires:

  1. J'ai trouvé que les modèles de Pugach ont été plutôt informative pour m'aider à comprendre d'où mes leçons se trouvent par rapport aux modèles d'inclusion et comment je pourrais atteindre « additive inclusion » pour les étudiants avec les difficultés d'apprentissage. Dans mon stage je n'ai pas eu la chance de vraiment poursuivre des stratégies « additives », car je n'avais pas d'étudiants avec les difficultés d’apprentissage. Néanmoins, durant le stage j'ai beaucoup exécuté les stratégies « génératives » pour les variétés d'intelligences multiples.

    J'ai bien aimé les étapes à prendre pour qu'un enseignant puisse créer des leçons encore plus inclusives pour les étudiants, surtout l'idée de continuer leur propre éducation comme enseignant en consultant avec leurs collègues. Je crois que c'est très important de garder un esprit ouvert lorsqu’on discute avec nos collègues, car nous apprendrions ensemble comment devenir des instructeurs plus efficaces aux niveaux d'inclusion. C'est aussi très important de réfléchir à vos propres stratégies pour développer une bonne estime de soi. C'est pour ça qu'on écrit de petites réflexions sur nos leçons dans nos plans de cours.

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  2. Pendant mon stage, j'ai utilisé l'inclusion additive dans ma classe, parce que j'avais enseigné seize élèves avec des difficultés d'apprentissage, alors j'ai dû modifié mes leçons pour ces élèves. J'ai utilisé des salles de classes spéciales pour les élèves dans les programmes ALS (anglais comme langue seconde), des activités et des programmes audio comme "Audible.com", où les élèves écoutent ce que la voix de l"ordinateur dit pour mieux comprendre le texte et la tâche du jour. Mais j'ai aussi exécuté les stratégies "génératives" qui adressent des intelligences multiples aussi.

    Je ne crois pas que nous devrions nous sentir intimidés ou craintifs de discuter que nous faisons dans la salle de classe avec nos étudiants à cause des commentaires ou à cause des perceptions négatives que nos collègues peuvent avoir ; plutôt, nous devrions encourager la communication avec nos collègues pour déterminer quelles stratégies travaillent mieux pour le développement d'érudition de nos étudiants. Si nous prenons cette étape en avant, nous pouvons découvrir de nouvelles stratégies que nous n'avions pas considérées qui peuvent profiter nos étudiants dans les façons dont nous n'avions pas imaginés.

    J'ai trouvé que les étapes pour créer des leçons plus inclusives aux étudiants qui sont expliqués dans cet article sont vraiment informatifs et je veux garder cet article avec l'intention d'utiliser les idées mentionnées dans le texte dans ma salle de classe quand je suis enseignante certifiée.

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