dimanche 9 décembre 2012

Une approche littératiée pour apprendre la langue et les sciences en immersion : résultats d’une étude quasi-expérimentale

Ce petit discussion parle d'une expérience que  deux enseignantes ont fait pour trouver les connections entre le français immersion et les sciences.  Ils on prit deux classes de français dans leurs deuxième année d'immersion tardif et ils les ont enseigner le science en français.  Avec la classe du contrôle ils ont enseigné d'une façon typique, avec la mémorisation, des projet et pas d'emphase sur l’apprentissage du langue second.  Avec la classe expérimentale, ils ont fait plusieurs tâches d'écriture et d'orale et aussi métacognatives avant et après les nouveaux concepts en science.  Ils voulaient voire si cette emphase sur la langue aux même temps que le science aurait eu un effet sur leurs apprentissage du langue seconde.

Après l'expérience, ils ont trouvé que la groupe experimentale ont parlé plus, mais ils ont aussi utilisé plus d'anglais. Aucun des deux groupes ont eu un amélioration du science parce qu'ils ont déjà étudier  le sujet du leçons.  Le groupe expérimentale a aussi écrit d'une façon beaucoup plus complexe mais ils utilisait encore de l'anglais.  Les deux groupes ont mieux utilisé les verbes.  La groupe expérimentale a eu un amélioration du langue générale.

Leurs conclusions sont que la première langue est encore très importante pour l’apprentissage du science.  Ils pensent que c'est un bonne idée de l'utiliser pour les expériences et pour augmenter le science, mais pas d'utiliser le science pour enseigner la langue.

3 commentaires:

  1. J'ajoute des idées pratiques au sommaire de Jenn.


    Comment intégrer l’article de Cormier et Turnbull à la pratique

    1. L’intégration de la langue et du contenu compte pour beaucoup.

    L’enseignement d’un contenu tel les sciences sans mettre l’accent sur la langue n’est pas efficient et les élèves ne tirent pas profit de leur pratique du français. Les enseignants peuvent prévoir des unités de contenu, telles celle des volcans et des tremblements de terre décrite dans notre article, pour atteindre des objectifs langagiers et de contenu.


    2. Il est important de lire, de parler et d’écrire au sujet de la science, tout comme écouter et lire des présentations et des textes scientifiques.

    Les élèves sont capables de lire, de parler et d’écrire au sujet de la science. Il est aussi important d’inciter les élèves à écouter et consulter une variété de textes scientifiques liés au contenu de leurs études. Plus ils écoutent et plus ils s’expriment oralement ou par écrit, plus leurs connaissances du français s’améliorent tout en apprenant des notions de contenu (par ex. les sciences).

    3. L’enseignement aux élèves de stratégies de littérisme est aussi utile.

    Lire, écrire et parler de science n’est pas chose facile au début des classes immersives en français. Écouter et lire de vrais textes en français traitant de science représentent aussi un défi. Il est nécessaire d’enseigner aux élèves des stratégies de compréhension avant, pendant et suivant ces tâches afin de leur permettre de réussir.

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  2. Je suis d'accord avec les idées dans l'article et aussi avec ce que Madame Mady avait dit au sujet de l'intégration de la langue française dans les cours différents comme la scientifique, les mathématiques, etc., parce que, lorsque les élèves sont fixés vers le sujet particulier, comme la scientifique ou les mathématiques, ils doivent exprimer leurs idées en français par l'écrite, ou par l'expression orale en classe, dont leurs connaissances du français s'améliorent quand ils apprennent le contenu des autres cours.

    L'enseignant dot intégrer la langue dans le contenu du cours, alors on doit donner des tâches spécifiques qui demandent que les élèves complètent des réponses écrites ou des discussions en classe qui ont besoin de la communication et l'expression orale de chaque élève. Pendant que les élèves se fixent sur le contenu du sujet scientifique ou mathématique, ils ne réalisent pas initialement que leurs pratiques dans le sujet particulier aide aussi dans l'amélioration de la langue française. Donc, les élèves n'apprennent pas seulement dans un sujet, mais ils apprennent vraiment en sujets multiples.

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  3. L'expérience que Jenn a décrit est très intéressant. Les idées que Madame Mady ajoutent semble très pratique et convient bien avec les idées des autres auteurs qu'on a discutés cette semaine. Lorsque qu'on enseigne un sujet dans la langue française je suis d'accord qu'il est important que l'enseignant prévoit les objectifs de la langue avant de commencer à introduire un sujet, comme l'histoire ou la science. Je crois que cela est important parce que c'est facile à parler d'un sujet sans y penser et, à la fin du cours, on trouve que les étudiants n'on rien appris de nouveau de la langue.

    Comme tous les cours de français, il est important d'intégrer l'oral, l'écoute et l'écriture dans un cours, peu importe le sujet et, comme Allington en a parlé, il est important d'enseigner les stratégies de la lecture avant que les étudiants doivent faire la lectrice autonome. Je crois que quand j'enseigne le français je vais m'assurer de toucher sur tous ces aspects de la langue sans être gêné. Comme Stéphanie a dit, si les élèves se fixent sur le contenu d'un sujet qui est intégré dans une autre langue, leur français va certainement améliorer et ils ne sauront même pas qu'ils apprennent la langue. C'est formidable !

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