samedi 27 octobre 2012

La communication orale au cycle secondaire




Bonjour tout le monde! Je vous offre une court synthèse de l'article de François Lentz, intitulé « La communication orale au cycle secondaire: de quels oraux parle-t-on? ».


Pratique exemplaire
La communication orale au cycle secondaire : de quels oraux parle-t-on ? 

L'article de François Lentz décrit ce qui construit la communication orale et sa fonction au cycle secondaire. Il explique que la langue orale est un outil de communication, mais c'est aussi un outil de pensée et d'apprentissage (au contexte scolaire). Lentz essaye d’examiner des certaines étapes qui forme la contruction de communication orale au cycle secondaire, et comment on peut la diviser pour affirmer la comprehension de cette forme de communication.

1.     « Que recouvre l'expression communication orale?
a.     La communication orale est divisée en deux parties, « se constuire » et « se dire »
b.     Des parties qui constituent la communication orale incluent :
                                     i.     Les interactions verbales
                                     ii.     L’oral de réalisation de tâches
                                     iii.     L’oral de construction de savoirs
                                     iv.     L’oral réflexif
                                     v.     La compréhension orale
                                     vi.     La production oral à caractère plus ou moins formel

2.     La communication orale : volets et pratiques (divisées en quelques parties, selon l’opinion de Lentz)
·      L’oral n’est pas seulement la prise de parole. Les pratiques de compréhension orale propossées aux élèves du cycle secondaire gagnent à être :
                                     i.     orientées par une intention
                                     ii.     articulées par une démarche ternaire (prévisionnement, visionnement, postvisionnement)
Voici quelques exemples de pratiques de compréhension orale au cycle secondaire :
                                    i.     Le film de fiction
                                    ii.     La chanson
                                    iii.     La publicité
                                    iv.     Le reportage
·      Selon Lentz, l’oral de communication comprend deux dimensions :
  La production orale à caractère plus au moins formel : dans une situation de communicationqui donne lieu à peu d’interactions entre le destinateur et son auditoire; prèsente une syntaxe proche de celle de l’ècrit, appuyé souvent d’un support visuel
o   Les interactions verbales : des situations de communication qui appellent des dynamiques interactives entre les protagonistes; spontané et souvent investi d’ne charge socioaffective- le lieu de l’expression et de la négociation
·      Les interactions orales sont également au cœur d’un autre oral : celui que est mobilisé, voire nécessité, par la réalisation de tâches d’apprentissage.
·      L’oral de construction de savoirs : ne relève pas des interactions langagières requises par la réalistion d’une tâche, mais a trait à la construction de critères qui servent à caractériser des objets d’apprentissage.
o   Convoque un matériau linguistique spécifique- celui qui marque la caractérisation, la définition, la description, la précision (on parle de l’objet), et celui qui marque la mise en œuvre d’opérations liées à a pratique de l’objet (on parle sur l’objet)
o   On peut mettre en deux ordres d’oral :
o   L’oral de construction de la pensée : l’exploration d’une idée, d’un concept, d’un point de vue, etc.
o   L’oral de communication de la pensée construite : présenter un concept, un opinion, une thèse, etc.; s’exprimer pour se faire comprendre
·      L’oral réflexif :
o   Parle de l’objet d’apprentissage que représente l’oral
o   Parle de ses succès, ses défis, ses progrès
o   Parle de ses apprentissages
·      La communication orale permet à l’élève de se produire, de se construire et se dire, comme personne.

3.     Quelques élargissements, en guise de conclusion:
Lentz décrit la perspective pédagogique sur la communication orale au cycle secondaire en quelques étapes qui convoque de certaines conditions, celles qui suivent :
                                      i.     la langue orale est perçue comme un instrument de communication
                                      ii.     les élèves ont de nombreuses occasions d’utiliser la langue orale pour communiquer
                                      iii.     les pratiques sont portées par la dynamique du sens
                                      iv.     les élèves sont exposés aux modèles excellents
                                      v.     il y a un climat de confiance qui favorise la prise de risques
                                      vi.     climat sécurisant, où les erreurs sont acceptées
                                      vii.     une évaluation également pour l’apprentissage
                                      viii.     des indicateurs de performance
                                      ix.     un soutien technique minimal
                                      x.     du temps
Lentz décrit la communication orale renvoie à une vision pédagogique et elle doit s'accompagner d'interventions sur des éléments, des ordres linguistiques, discursif et communicatif, de l'oral comme objet d'apprentissage. En conclusion, Lentz explique que la communication orale au cycle secondaire donne aux élèves des mots pour se communiquer, pour l'apprentissage (et l'aide à apprendre), pour se dire, mais aussi pour se construire dans un contexte scolaire, au sujet de leur parole. Enfin, Lentz exprime que la communication orale, c'est la meilleure forme de communication qu'une élève possède, qui l'aide le plus dans le développement d'apprentissage à l'école ; sans la compréhension orale, on ne pourrait pas apprendre ni enseigner l'écrite- tout est construite sur l'orale. À mon avis, je suis d'accord avec des opinions que Lentz adresse et je crois que nous, comme les enseignants, devrait converger notre attention et la direction de nos leçons, à la construction correcte de communication et la compréhension orale, pour garantir que les étudiants arrivent à leur développement dans apprendre une nouvelle langue.

3 commentaires:

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  2. François Lentz examine les étapes qui forme la construction de communication orale et comment on peut la diviser pour affirmer la compréhension de cette forme de communication. Il est clair que Lentz est un structuraliste et, malheureusement, j'ai trouvé son article plutôt ennuyeux. Néanmoins, il a quelques points avec lesquels je suis d'accord, par exemple, la langue orale est certainement un outil de communication, un outil de pensée et d'apprentissage.

    Ses points sur la communication orale sont valables. Pour la compréhension les étudiants doivent, au début, formuler un intention puis compléter un prévisionnement, visionnement et postvisionnment. Le cycle est pratique, car il commence en rappelant les connaissances préalables et finit avec les réactions du contenu ou le réfléchissement. Pour comprendre et améliorer la communication il est important de réfléchir sur les résultats après la pratique langagière.

    Je crois que c'est très important d'encourager la communication verbale dans la salle de classe. À mon avis, je suis certaine que les étudiants apprendraient la langue plus effectivement s'ils étaient forcés de parler. L'orale vient certainement avant l'écrit et il faut comprendre le niveau du langage à l'oral pour la communication base (les relations entre les personnes) avant de comprendre le niveau d'écriture.

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  3. Moi aussi, j'ai trouvé cet article ennuyeux mais, encore important. Je pense que tout le monde qui enseignent le français sait que la communication orale est un parti important de l'apprentissage d'une langue. Sans les tâches orales, la compréhension de la langue va être beaucoup plus lent et moins profond. Alors, nos étudiants sont encourager de parler en français le plus que possible. Avec toutes ce connaissance, il est rare où on considère les partis spécifiques de la communication orale. Quand on parle dans nos langues maternelle, on ne pense pas à la formation des mots ou de la construction des phrases. Ce sont les pratiques automatiques pour nous, mais pour les étudiants d'une langue seconde comme le français, la communication orale devient une tâche très compliquer et difficile. Comme enseignants si on considère tous les petits tâches nécessaires pour effectivement communiquer oralement, on peut aider nos élèves beaucoup plus.

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